maux de têtes

La crise du Covid-19 nous a forcé à rester cloîtré chez nous sans avoir la possibilité d’être libre et de sortir à l’extérieur. Cette situation stressante est génératrice de tension et d’inconfort qui peuvent provoquer l’apparition de maux de têtes douloureux et sévères.

Vous pourriez aussi avoir ressenti la réapparition d’anciennes douleurs dans votre corps.

En effet, la somatisation (du latin soma – le corps) se caractérise par l’apparition de symptômes physiques qui ont une origine émotionnelle ou psychologique.

Comment apprendre à les diminuer pour ne pas souffrir inutilement ?

La première chose à faire est de reprendre le contrôle de votre corps et d’arriver à être dans une écoute attentive et bienveillante de vous-même.

À partir de cet état, vous êtes ouvert et pouvez mener des actions bénéfiques et salvatrices.

L’intelligence innée de votre corps saura vous guider vers les bonnes choses pour aller mieux. Si ce conseil ne vous paraît pas très clair et que vous n’êtes pas fermé à la spiritualité, il peut-être intéressant de vous pencher sur ce sujet (cf 3ème partie de cette article).

Sinon, ci-dessous, je vais vous proposer une alternative, non incompatible, pour gérer vos douleurs et ne plus souffrir. Il s’agit des deux grandes méthodes développées sur le site santeinfini.fr

À plus court terme, je vous invite à expérimenter le massage. C’est un très bon moyen de ressentir une diminution des douleurs. Ne vous attendez pas à être guérit pour autant !

Approches scientifiques de la douleur

Des études scientifiques récentes apportent une nouvelle compréhension du phénomène de la douleur :

La douleur cherche à nous protéger. Elle nous aide à survivre et nous indique quand certaines choses sont mauvaises pour nous, peuvent nous faire du mal. Toute douleur est bénéfique et délivre un message qu’il faut interpréter. Notre corps et notre cerveau sont là avant tout pour nous aider. C’est notre esprit qui nous alerte en créant ces douleurs pour nous dire « stop », lorsque nous sommes submergés par notre environnement (par exemple, le stress au travail)

La douleur n’est pas juste une expérience physique.  C’est le cerveau qui décide du déclenchement ou non de la douleur et de son intensité. La douleur est donc un phénomène subjectif. C’est l’opinion du cerveau sur la quantité de douleur à produire pour nous informer (et nous protéger). Pour faire cette évaluation, le cerveau s’appuie sur certains facteurs : notre capacité à être détachée de la douleur, le degré de réaction négative à la douleur (peur, stress), la capacité du corps à s’autosoigner.

Trouver un thérapeute en ligne sur ce site internet

Comme la douleur vient du cerveau, il faut apprendre à maîtriser son esprit et son corps pour mieux gérer la douleur.

Cependant, quand on souffre de douleurs chroniques, le cerveau s’est souvent programmé pour devenir hypersensible, surprotecteur. Il provoque de fortes réponses douloureuses à des stimuli normaux. C’est la cause profonde de la plupart des douleurs chroniques psychosomatiques. Cela dit, le cerveau et le système nerveux peuvent toujours être reprogrammés.

Approche par le développement spirituel

Qu’est-ce que le développement spirituel ?

Le développement spirituel laïque ou le sentiment de connexion à son « moi profond » est une voie libératrice, un chemin de croix qui peut déboucher sur une libération intérieure face à certaines souffrances et problématiques autocréés (dont les céphalées de tension). Cela a été mon cas.

Bien que ce changement ne soit pas automatique et parfait, il peut apporter son lot de bénéfices pour la personne qui le poursuit suffisamment longtemps. Cette pratique spirituelle ne vous rendra pas heureux ou malheureux. Elle vous apportera la paix intérieure.

En pratique, il s’agit de réaliser certaines choses salvatrices sur soi-même et la vie qui permettent de beaucoup mieux gérer les céphalées de tensions. Vous les contrôlez et ne les subissez plus au quotidien. Vous développez un grand recul qui vous permet de ne plus voir les céphalées de tension de la même manière.

Par exemple, il peut s’agir d’avoir une compréhension très fine du lien corps-esprit ou encore de prendre conscience de certains de nos comportements inconscients générateur de souffrance physique et psychique.

Prendre conscience de la dualité de la vie et de notre nature spirituelle

La spiritualité est aussi la distinction entre le faire et l’être que l’on pourrait symboliser par le ying/yang. Elles sont complémentaires et inséparables.

L’être concerne notre essence profonde, notre personnalité, notre identité. Ils s’appuient sur notre conscience qui nous permet de faire l’expérience du monde extérieur.

Le faire est tout ce que notre corps et notre esprit nous permettent de manifester dans le monde extérieur par la force de notre volonté et/ou de notre envie.

Dans la société occidentale, nous avons créé un déséquilibre entre les deux qui peut provoquer de la souffrance. Pour le rétablir, il est important de s’écouter, de méditer, de s’arrêter pour apprécier le moment présent.

Être dans le moment présent implique de vivre dans l’instant sans se préoccuper du passé ou du futur. Lorsque nous mettons notre attention sur les perceptions sensorielles, notre mental se calme.

Cet état de connexion et d’acceptation de l’ici et maintenant est un moyen de ressentir un calme intérieur profond. Dans cet état, les tensions et sentiments négatifs sont bien moins présents. Par conséquent, la somatisation diminue et les douleurs aussi.

Pour lire l’article complet : voici le lien